Lancement de Ce qui tient, réflexions sur les institutions mineures

Marseille (6/11) / Toulouse (7/11)

Soirée de lancement du recueil de texte sur les institutions mineures de l’école de philosophie, Ce qui tient.

Pour l’occasion, plusieurs membres de l’école seront présent·es pour le présenter :

  • Jeudi 6 novembre à 19h, librairie l’Hydre aux mille-têtes (96, rue Saint-Savournon, 13001 Marseille)

  • Vendredi 7 novembre à 19h, librairie Terra Nova (18, rue Gambetta, 31000 Toulouse)

Lecture de Maisons d’enfance d’auror·404

Lyon (13/11) / Grenoble (14/11)

Présentation du premier roman d’auror·404.

Dans ce récit largement autobiographique, l’auteurice explore la notion d’héritage familial en disséquant les stigmates matériels, historiques, symboliques que nos maisons d’enfances abritent. Mettant en regard deux personnages aux vécus radicalement opposés, mais qui tissent malgré tout une relation amoureuse complexe, auror·404 nous offre un texte précis sur les violences de classe, ainsi que sur les traces physiques et psychologiques que laissent les violences intrafamiliales vécues pendant l’enfance.

  • Jeudi 13 novembre à 19h15, librairie La Madeleine (16, rue de La Madeleine 69007 Lyon)

  • Vendredi 14 novembre à 19h, librairie Les Modernes (6, rue Lakanal, 38000 Grenoble). La soirée sera animée par Gaëlle, la libraire.

Trois salon

8e Salon de l’IHS / Offprint / Les Fugueurs du livre

  • 3 novembre : 8e Salon du livre d’histoire sociale au siège de la CGT à Montreuil (24, rue de Paris, 93100 Montreuil)

  • 13 — 16 novembre : Offprint (13, rue Santeuil, 75005 Paris)

  • 29 — 30 novembre : Les Fugueurs du livre, 11e édition (Centre de ressources provincial B3 b1 place des Arts, 4020 Liège)

Présentation d’ « À bas l’état, les flics et les fachos ! »

St Julien Molin Molette (21/11) / Marseille (5/12)

Le 21 novembre, quelques-unes des personnes qui on répondu aux questions d’Olivier Minot dans « À bas l’état, les flics et les fachos ! » présenteront le livre à la cabére noir (14, place de l’ancienne bascule, 42220 Saint Julien Molin Molette).

Le 5 décembre aussi à Marseille à la librairie l’Hydre aux mille-têtes (96, rue Saint-Savournon, 13001 Marseille).

Pour rappel :

Le Groupe Antifasciste Lyon et Environs (GALE) s’est formé en 2013 suite à la mort de Clément Méric. En 2022, l’État enclenche une procédure de dissolution à l’encontre du groupe. Une dissolution d’abord suspendue en référé par le Conseil d’État, puis finalement validée en novembre 2023. Dans « À bas l’état, les flics et les fachos ! » , Olivier Minot recueille les paroles des militant·es de la GALE et raconte quinze années de luttes antifascistes, anarchistes et autonomes à Lyon.

Exposition Bullshit Job

Paris / Centre Wallonie-Bruxelles / à partir du 13 novembre

Nous participons à l’exposition Bullshit Job avec Sophia Abderrazak, Ayla Aktan, Renaud Artaban, Alexandre Barbé, Ugo Ballara, Joséphine Berthou, Clémentine Blaison Vandenhende, Elie Bolard, Clara Bougon, Evangeline Font, Reem Hasanin, Ruoxi Jin, JINGDI, Lune Jusseau, Tom Rambaud, Elouan Le Bars, Fañch Le Bos, Rémi Lecussan, Raphaël Maman, Raphaël Massart, Matthias Odin, Sara Noun, Clarisse Pillard, Manon Torné-Sistero, Marcos Uriondo, Maxime Vignaud, Winju, W.I.P. Collective, Daniel Zduniuk, Kylian Zeggane

L’exposition rejoue, dans sa scénographie même, le simulacre d’un espace de travail corporate. Mais ce coworking fictif est troué de failles, saturé de bugs, hanté par des fantômes. Il devient le théâtre d’une multitude de tentatives de résistance visant à désenvoûter les logiques capitalistes et bureaucratiques. Certaines œuvres font ressurgir les émotions refoulées et les voix étouffées de métiers disparus et d’usines désertées. D’autres inventent des fictions d’entreprise ou se greffent à l’administration pour la faire dérailler. Dans ce paysage instable, peuplé d’insectes mangeurs d’œuvres, et de bots nostalgiques, les team buildings virent au conte dystopique. Les slogans tournent au récit d’effondrement. Par endroits, des rêves d’évasion percent la surface aseptisée du réel, comme autant de lumières au bout du tunnel.

Un grand merci à Manon Klein et Andy Rankin.

L’Atelier Téméraire lance une nouvelle collection : Cahiers Abolitionnisme Pénal

Qui nécessite un financement participatif

La collection Cahiers Abolitionnisme Pénal est dédiée aux pensées et luttes abolitionnistes, qui vise à nourrir l’imaginaire abolitionniste tout en ouvrant un espace de réflexion et de discussion à partir de cette perspective. Comment penser le monde avec les outils d’analyse abolitionnistes ? Comment articuler les aspirations abolitionnistes aux autres luttes émancipatrices ? Comment mener concrètement les combats pour l’abolition du système pénal et de toutes les formes d’enfermement ? Quelles sont les nouvelles du front, là où des abolitionnistes s’organisent, expérimentent, résistent ? À travers ces interrogations, la collection « Cahiers Abolitionnisme Pénal » entend accompagner les luttes en cours, faire circuler les idées et contribuer à construire des solidarités.

Dirigée par Gwenola Ricordeau et née d’une première collaboration avec Atelier Téméraire, cette collection vise à nourrir l’imaginaire abolitionniste tout en créant un espace de réflexion et de discussion. Les textes publiés, originaux ou traduits, récents ou historiques, mettent en lumière des pratiques, des expériences et des analyses qui accompagnent les combats pour l’abolition.